Sceau GODF
Mariane
Livre blanc

L’existence individuelle et l’existence sociale

Respectable Loge, Gabriel Narutowicz, Orient de Cracovie, Région 14 Paris 4 et Loges d'Europe de l'Est

Mots Clefs : GroupesNations

L’existence individuelle et l’existence sociale – l’individu dans la démocratie et dans la dictature

Dans l’histoire du monde le problème de l’autonomie d’un individu en face de ses obligations, ses droits et les dépendances sociales reste le problème essentiel et général. Les sciences telles que la sociologie, la philosophie et l’histoire aussi bien que l’art, la littérature et le théâtre s’en occupent depuis des siècles. Ce problème comporte la question de liberté personnelle dans la pensée, les paroles et les actes face aux obligations communes.

L’humanité, avec beaucoup d’efforts, depuis longtemps cherche un consensus, une solution et des principes constitutionels, en faisant un faux pas face aux actes extrêmes – d’un côté anarchiste et consanguin, d’un autre hiérarchiques, menant vers les régimes totalitaires.

L’existence individuelle d’un homme intérieurement libre, de sa naissance jusqu’à sa mort, reste en général une série de difficiles essaies et efforts pour liéer l’indépendance et la dépendance face aux autres. Au centre de ces dilemmes se trouve la poursuite de systèmes sociaux de nature démocratique qui donnent la possibilité de votes unique aux éléctions générales et aux référendums. En effet, sur la voie vers la liberté personnelle, les individus sont généralement seuls – d’où les efforts visant à introduire un système de droits universels et les exercices du povoir sont repris par des groupes, des formations et des parties politiques et dans la poursuite totalitaire, de masses contrôlées par des idéologues.

Alors, il apparaît la différence fondamentale entre l’idéologie et l’idéalisme chez ceux qui proclamant des idées de la bonté universelle et en réalité créent les idéologies apportant des avantages uniquement aux groupes de leurs partisants de mêmes idéaux où, dans la plupart des cas, domine la règle que chacun peut avoir sa propre opinion, sous condition qu’elle s’accorde avec la nôtre.

La tolérance devient oppressive et la libérté de s’exprimer – la contrainte.

Et sont aussi menacés les mots d’ordre du siècle de lumière. Liberté, égalité et justice perdent en face de la méthode et du système dans lesquels les individus pensant d’une autre façon ou les minorités sont exclues. Et nous avons affaire à cette image, même aujourd’hui, ici et maintenant. Les idéologies, qui dans l’histoire se sont manifestées d’une façon uniquement négative, dominent toujours, en organisant l’ordre du monde. Les dominations d’une formation sur l’autre, même si elles se servent des programmes sociaux réels ou provisoires, ils sont en fait fondés sur des hypothèses idéologiques contre lesquellles le bien et la liberté de l’individu doivent céder la place aux pressions de la soumission et de la soi-disant rectitude politique. Il faut avant tout défendre la liberté dans la pensée et dans la parole. En cherchant un nouvel horizon, idéaliste et non idéologique, il est nécessaire de trouver des proportions et une juste garantie pour la liberté personnelle, en excluant des dogmes et des doctrines.

Groupes, formations et nations envers les tendances globales

Pareillement au cas de l’individu, la question de la liberté et de la souveraineté de groupes liés au niveau culturel, aussi bien que de nations en entier, reste aussi importante. C’est plus qu’un problème moderne, il est aussi tourné vers l’avenir. Un bon exemple reste l’avenir de l’Europe Unie. Il en existe deux tendances opposées – l’une c’est de rester dans l’Europe commune avec un gouvernement pour tous et même une seule armée. Et dans ce cas, le problème de la particularité ou de l’indépendance économique et culturelle, aussi bien que l’identité nationale et patriotique, reste la question exigeant le consensus en dehors des idéologies. En somme – l’union de l’individu et de la société c’est l’indépendance et la corrélation. Cette question peut être illustrée par l’exemple du ruban de Mobius, connu de la science. Il est simple et a deux faces, c’est-à-dire qu’il a deux plans, qui sont « les deux faces de medaille ». Si nous supposons que l’un des plans est un individu et l’autre est la société, (ou l’un c’est la nation et l’autre c’est la communauté des nations, c’est-à-dire des cultures), ces deux parties resteront séparées pour toujours. Cependant, si on tourne les pointes à 180 dégrés, on obtient un seul plan qui est commun aux deux, où il n’y a pas de contradictions.

La question consiste à trouver la méthode pour unir ces deux pointes pour qu’elles deviennent une unité infinie, en gardant ses droits et ses propriétés. La réponse est probablement dans la reconnaissance mutuelle, la compréhension et la tolérance, mais aussi dans une responsabilité unique et collective pour nous-mêmes et pour les autres.

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