Les vecteurs institutionnels

– Quel est, doit être ou pourrait le rôle des syndicats ? Force de proposition ou défense catégorielle ?

– Quel est doit être ou pourrait être le rôle des partis politiques, quand il semble parfois que la Vème République et le fonctionnement de nos institutions sont à bout de souffle ?

– La démocratie est-elle plus efficiente au niveau local (régions, départements) qu’au niveau du parlement ?

– Une nouvelle phase de décentralisation ne doit-elle pas s’accompagner d’une réelle déconcentration ?

Les fusions de communes pourraient-elles contribuer à gérer plus efficacement les territoires en limitant les pouvoirs des Agglo, Métropoles et autres Baronnies ?

– Quelles responsabilités restent à bâtir ? (« L’organisation de l’État et de notre action doit profondément changer…Tout ne peut pas être décidé si souvent à Paris. C’est pourquoi je veux ouvrir pour notre pays une page nouvelle donnant des libertés et des responsabilités inédites à ceux qui agissent au plus près de nos vies… E. Macron le 14/06/2020)

– Comment améliorer le fonctionnement de la démocratie représentative ?

– Le non renouvellement des mandats est-il judicieux ?

– Le couplage de l’élection présidentielle avec le scrutin législatif est-il le meilleur garant d’un pouvoir législatif renforcé ?

– Le « vote obligatoire » peut-il permettre de ré-impliquer les citoyens dans la vie de la nation ?

– D’autres systèmes électoraux permettraient ne permettraient-ils pas d’éviter la polarisation de la vie politique généré par les conditions actuelles du scrutin uninominal à deux tours ?

La reconnaissance du vote blanc et l’attribution de siège par tirage au sort à hauteur du pourcentage de votes blancs aiderait-il au renouvellement du personnel ^politique ?

– Une éthique de la responsabilité peut-elle se substituer aux calculs électoraux trop souvent paralysants ?

– En plus des négociations avec les partenaires sociaux, quels outils ou méthodes pourraient être utiles au débat démocratique ? (Grand débat tel celui initié par le Président de la République en janvier 2019, consultations citoyennes…)

– La pratique renouvelée des « Conventions citoyennes » avec des citoyens tirés au sort peut-elle constituer un aiguillon pour la démocratie représentative ?

– Pour que les propositions émises par ces Conventions citoyennes ne relèvent pas que du « fait du prince », est-il nécessaire qu’elles soient validées par une consultation, sous forme par exemple de QCM pour éviter le piège du referendum plébiscite ?

La démocratie est-elle faussée par le lobbying ou les pouvoirs médiatiques ?