Sceau GODF
Mariane
Livre blanc

Les individus et la société sont extrêmement liés

Respectable Loge, Etoile des Mascareignes, Orient de Saint-Pierre, Région 3 Afrique-Asie-Amériques-Pacifique-Océanie dite le Monde

Mots Clefs : Individu Monde

De cette hypothèse, je suggère de poser deux postulats.  

Un premier qui est de dire que la société regroupe un ensemble de règles, de normes qui déterminent ce qui est acceptable, peu acceptable ou pas acceptable. Elle se doit d’assurer protection et de pouvoir mettre en œuvre toutes formes d’actions favorisant l’insertion et l’intégration.

Le second, consisterait à représenter l’individu comme une entité évoluant dans un environnement (souvent complexe !), qui transporte un certain nombre de codes et de valeurs qui relèvent de l’éthique et de la déontologie. Ces codes pouvant changer d’un individu à un autre, en fonction de son éducation et de sa capacité à assimiler de nouvelles perceptions tout au long de sa vie, et ainsi se présenter comme étant un être à part entière.

Le monde est donc société, le monde est donc individu.

Il s’agit de savoir comment trouver le bon compromis afin que la société et les individus forment un tout, en un ?

En comptabilité on parle de partie double, en droit on évoque la question du fond et de la forme, dans certaines communautés les énergies sont au centre des préoccupations entre le Ying et le yang.

Alors que la société tend à aborder la relation entre les individus dans un système où il est question de devoirs, l’individu aborde son intégration au sein de cette même société en réclamant ses droits.

C’est ainsi que là encore le mode de fonctionnement est double nous sommes bien à poser la question des droits des devoirs, peut-être dans la quête d’un équilibre nécessaire pour tous.

Les normes, les règles, les interdits, les obligations, les responsabilités etc., finalement ouvrent des possibilités mais en même temps enferment dans des processus complexes dans lesquels très régulièrement la liberté est requestionnée.

Aborder la société et les individus, consiste de fait à s’interroger sur les fondements qui déterminent les principes régaliens que sont la liberté, l’égalité et la fraternité

Cela consiste à s’interroger aussi sur comment organiser ou réorganiser la société de demain ? Et de déterminer quel en sera le rôle de chacun ?

Comme je l’exprimai en amont : société et individu, ne peuvent faire qu’un. Ce qui signifie à mon avis une volonté de rechercher une forme d’unité qui est renforcée par le lien ou la cohésion sociale. Dans cette quête il existe malgré tout, des formes d’inégalités et de discriminations.

La société et les individus forme un système qui est dynamique et qui agit énormément en fonction des affectes, des coalitions, des accords et désaccords en tout point de vue et qui regroupe toutes les générations confondues. On parle alors de mixité qui parfois entraînent des chocs générationnels, culturels, cultuels et/ou sociétaux.

Il s’agit de dire que la société et les individus dans un même élan agissent pour le bien de l’humanité.

Le cadre freine les comportements extrêmes et lorsque les actes sont condamnables, ce même cadre agit comme garde-fou dans lequel trouvent leur place la fraternité et la solidarité.

Une société sans règle est vouée au désastre, les individus permettent sa stabilité et son développement. Les droits et devoirs sont certainement les bases en faveur du respect mutuel.

Se pose la question de l’identité, de l’appartenance à un groupe au quel cas l’individu se sentira rejeté. La société fait bouclier à l’exclusion.

Lorsque les individus sont en instinct de survie, c’est donc que la société ne joue plus son rôle. Néanmoins, ce qui fait société fait de chacun de nous des individus.

Il s’agira d’interroger sur ce qui fondent le collectif et l’individualisme ?

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